29 mai 2019
Travailler au bureau comme chez soi.
Aménagement et décoration : le bureau idéal existe-t-il ?
Nous sommes encore nombreux à avoir connu l’époque à laquelle les conditions de travail dépendaient directement du métier pratiqué, parfois pour le meilleur et souvent pour le pire. Une époque où l’objectif de performance, parfois aveugle, dictait des choix finalement irrationnels tant ils pouvaient peser sur le moral des salariés.
Avec l’émergence du travail indépendant et avec la multiplication des formes de collaborations, la France a connu ces dernières années une petite révolution des conditions de travail, touchant tous les secteurs d’activité et tous les métiers. Si certaines innovations poussées un peu vite ont ensuite été tempérées, le recul permet aujourd’hui de dégager les cinq grandes tendances du bureau rêvé.
1/ L’aménagement de bureau, un acte managérial.
Le temps où la performance économique reposait sur la stricte répartition des tâches est donc bien révolu. Pariant sur la communication interne et sur l’émulation qu’elle permet, la dernière génération de managers monte au front pour permettre à ses collaborateurs de développer chaque jour plus de créativité et d’esprit d’initiative.
Elle entend faire de l’espace de travail un support de communication en tant que tel, et va parfois jusqu’à en faire la colonne vertébrale de sa politique managériale. Elle fait de ses bureaux et de ses espaces des messagers du quotidien, s’attachant à ce que chaque détail soit un élément de plus de réassurance ou de motivation.
2/ Le fonctionnel au service du design.
Le design pour le design, au-delà de son irrationalité en entreprise, fait courir à celle-ci le risque d’une image de superficialité, voire d’incapacité à hiérarchiser ses priorités.
En partant du fonctionnel pour concevoir les espaces et sélectionner les éléments de mobilier, de déco, d'ambiance, le but est d’obtenir un résultat harmonieux, équilibré et plaisant par la qualité de son usage et donc efficient. Un résultat beau évidemment, mais surtout plébiscité pour sa capacité à faciliter le travail personnel et les échanges de groupes restreints ou plus larges.
3/ La maison comme première source d’inspiration.
Sans tomber dans l’excès, c’est l’un des piliers de la nouvelle génération de bureaux. Une maison qui s’invite par sa décoration, nous y reviendrons, mais aussi par sa lumière, par sa personnalité particulière et par le plaisir de la variété des espaces qu’elle propose.
Une inspiration qui ne doit toutefois pas s’imposer de façon trop brutale, sa dimension intime pouvant, si elle n’est pas gérée avec justesse, se révéler clivante.
4/ La décoration, dernier tabou à faire tomber.
Autrefois perçue comme superficielle, elle est le nouveau mojo des entreprises à la mode. Elle peut être simple et vivre à travers de belles matières et des couleurs choisies ou dans quelques éléments de mobiliers apportant une énergie choisie.
Elle peut aussi se faire plus présente si le secteur d’activité le permet, à force d’oeuvres d’art ou d’expositions temporaires d’artistes locaux ou au retentissement plus large, eux-mêmes prétextes à une communication interne et externe particulières.
5/ L’espace temps comme fil conducteur.
C’est notre dernier point, mais peut-être le plus important ! Le rythme de la journée et celui de la semaine sont des éléments clés d’un aménagement de bureau réussi. Les allers et venues sont-elles réparties sur la journée ? Tout le monde est-il présent au même moment ? A quel moment de la journée les clients ou partenaires extérieurs sont-ils le plus présents ?
Le moment auquel chaque public utilise les lieux doit dicter l’expérience que vous entendez lui faire vivre. L’apaisement ou l’énergie que vous voulez lui proposer, le contact, l’échange ou au contraire la possibilité pour lui de se retrouver seul.
Il y a évidemment d’autres manières d’appréhender ce nouvel enjeu majeur de la transformation de l’espace de travail. Mais s’il fallait en retenir un élément important, c’est qu’il se réfléchit désormais en trois dimensions et en autant de sens que la nature nous en a offert.
Chez Aventim, ça donne quoi ?
Devant avant tout gérer la croissance de ses équipes, AVENTIM a inauguré ses nouveaux bureaux en 2018, et a pris le soin d’y faire vivre tout ou presque des meilleures idées proposées chaque jour à ses clients.
Pour inventer ses nouveaux espaces, l’entreprise a d’abord mis à plat les demandes récurrentes de ses collaborateurs, qu’elles soient de cadre de vie ou purement fonctionnelles. L'équipe est devenue ambassadrice de ces nouveaux bureaux, presque les maitres d'oeuvre.
Elle a ensuite fait appel à un architecte d’intérieur, Guillaume Da Silva et à une décoratrice, Elodie Degraeve, pariant comme toujours sur les meilleurs talents et leur demandant de travailler des matières vraies, des espaces vivants, utiles et utilisés, des bureaux intimes et accueillants, et des espaces comme l’immense cuisine, la tisanerie ou les salles de siestes, plus surprenants.
Un fil conducteur simple a en fait guidé la conception et la mise en oeuvre de ce projet majeur : celui de vouloir venir au travail. Lieux à la fois de rencontre et de concentration, d’ouverture et d’apaisement, les nouveaux bureaux de l’entreprise sont à son image, et c’est peut-être là le plus important.
Quand l’aménagement devient un enjeu premier
Dans le cas du bâtiment Océanie du Parc du Verseau à Wasquehal, le client installé par les équipes d’AVENTIM avait besoin d’un aménagement spécifique. Le bâtiment des années 80 devait être mis au goût du jour pour redistribuer les espaces, créer de nouveaux lieux de rencontre sans dénaturer le site organisé autour d’un jardin intérieur.
Ouvrant un maximum les espaces, c’est Kardham qu’AVENTIM a choisi comme partenaire de cette opération. Spécialiste de ce type de problématiques, l’agenceur a surtout eu à gérer trois enjeux majeurs : celui de regrouper la plupart des équipes au premier étage, et de créer un grand showroom en RDC, lieu de rencontres et ouvert sur le parc. Le dernier enjeu a été de gérer la température des nouveaux espaces créés, la façade étant entièrement vitrée.
C’est au contact de sujets chaque jour différents que se trouvent les meilleurs réflexes et les meilleures combinaisons de choix pour allier capacité d’accueil, respect des contraintes réglementaires, confort de travail et fierté, pour l’entreprise utilisatrice, d’intégrer les nouveaux lieux.
Maniant avec une agilité étonnante réduction des délais et demande de plus en plus forte de co-construction, le partenariat sur cette opération monté entre AVENTIM et Kardham est aux avant-postes des nouveaux éco-systèmes réinventant l’immobilier d’entreprise.
Nous sommes encore nombreux à avoir connu l’époque à laquelle les conditions de travail dépendaient directement du métier pratiqué, parfois pour le meilleur et souvent pour le pire. Une époque où l’objectif de performance, parfois aveugle, dictait des choix finalement irrationnels tant ils pouvaient peser sur le moral des salariés.
Avec l’émergence du travail indépendant et avec la multiplication des formes de collaborations, la France a connu ces dernières années une petite révolution des conditions de travail, touchant tous les secteurs d’activité et tous les métiers. Si certaines innovations poussées un peu vite ont ensuite été tempérées, le recul permet aujourd’hui de dégager les cinq grandes tendances du bureau rêvé.
1/ L’aménagement de bureau, un acte managérial.
Le temps où la performance économique reposait sur la stricte répartition des tâches est donc bien révolu. Pariant sur la communication interne et sur l’émulation qu’elle permet, la dernière génération de managers monte au front pour permettre à ses collaborateurs de développer chaque jour plus de créativité et d’esprit d’initiative.
Elle entend faire de l’espace de travail un support de communication en tant que tel, et va parfois jusqu’à en faire la colonne vertébrale de sa politique managériale. Elle fait de ses bureaux et de ses espaces des messagers du quotidien, s’attachant à ce que chaque détail soit un élément de plus de réassurance ou de motivation.
2/ Le fonctionnel au service du design.
Le design pour le design, au-delà de son irrationalité en entreprise, fait courir à celle-ci le risque d’une image de superficialité, voire d’incapacité à hiérarchiser ses priorités.
En partant du fonctionnel pour concevoir les espaces et sélectionner les éléments de mobilier, de déco, d'ambiance, le but est d’obtenir un résultat harmonieux, équilibré et plaisant par la qualité de son usage et donc efficient. Un résultat beau évidemment, mais surtout plébiscité pour sa capacité à faciliter le travail personnel et les échanges de groupes restreints ou plus larges.
3/ La maison comme première source d’inspiration.
Sans tomber dans l’excès, c’est l’un des piliers de la nouvelle génération de bureaux. Une maison qui s’invite par sa décoration, nous y reviendrons, mais aussi par sa lumière, par sa personnalité particulière et par le plaisir de la variété des espaces qu’elle propose.
Une inspiration qui ne doit toutefois pas s’imposer de façon trop brutale, sa dimension intime pouvant, si elle n’est pas gérée avec justesse, se révéler clivante.
4/ La décoration, dernier tabou à faire tomber.
Autrefois perçue comme superficielle, elle est le nouveau mojo des entreprises à la mode. Elle peut être simple et vivre à travers de belles matières et des couleurs choisies ou dans quelques éléments de mobiliers apportant une énergie choisie.
Elle peut aussi se faire plus présente si le secteur d’activité le permet, à force d’oeuvres d’art ou d’expositions temporaires d’artistes locaux ou au retentissement plus large, eux-mêmes prétextes à une communication interne et externe particulières.
5/ L’espace temps comme fil conducteur.
C’est notre dernier point, mais peut-être le plus important ! Le rythme de la journée et celui de la semaine sont des éléments clés d’un aménagement de bureau réussi. Les allers et venues sont-elles réparties sur la journée ? Tout le monde est-il présent au même moment ? A quel moment de la journée les clients ou partenaires extérieurs sont-ils le plus présents ?
Le moment auquel chaque public utilise les lieux doit dicter l’expérience que vous entendez lui faire vivre. L’apaisement ou l’énergie que vous voulez lui proposer, le contact, l’échange ou au contraire la possibilité pour lui de se retrouver seul.
Il y a évidemment d’autres manières d’appréhender ce nouvel enjeu majeur de la transformation de l’espace de travail. Mais s’il fallait en retenir un élément important, c’est qu’il se réfléchit désormais en trois dimensions et en autant de sens que la nature nous en a offert.
Chez Aventim, ça donne quoi ?
Devant avant tout gérer la croissance de ses équipes, AVENTIM a inauguré ses nouveaux bureaux en 2018, et a pris le soin d’y faire vivre tout ou presque des meilleures idées proposées chaque jour à ses clients.
Pour inventer ses nouveaux espaces, l’entreprise a d’abord mis à plat les demandes récurrentes de ses collaborateurs, qu’elles soient de cadre de vie ou purement fonctionnelles. L'équipe est devenue ambassadrice de ces nouveaux bureaux, presque les maitres d'oeuvre.
Elle a ensuite fait appel à un architecte d’intérieur, Guillaume Da Silva et à une décoratrice, Elodie Degraeve, pariant comme toujours sur les meilleurs talents et leur demandant de travailler des matières vraies, des espaces vivants, utiles et utilisés, des bureaux intimes et accueillants, et des espaces comme l’immense cuisine, la tisanerie ou les salles de siestes, plus surprenants.
Un fil conducteur simple a en fait guidé la conception et la mise en oeuvre de ce projet majeur : celui de vouloir venir au travail. Lieux à la fois de rencontre et de concentration, d’ouverture et d’apaisement, les nouveaux bureaux de l’entreprise sont à son image, et c’est peut-être là le plus important.
Quand l’aménagement devient un enjeu premier
Dans le cas du bâtiment Océanie du Parc du Verseau à Wasquehal, le client installé par les équipes d’AVENTIM avait besoin d’un aménagement spécifique. Le bâtiment des années 80 devait être mis au goût du jour pour redistribuer les espaces, créer de nouveaux lieux de rencontre sans dénaturer le site organisé autour d’un jardin intérieur.
Ouvrant un maximum les espaces, c’est Kardham qu’AVENTIM a choisi comme partenaire de cette opération. Spécialiste de ce type de problématiques, l’agenceur a surtout eu à gérer trois enjeux majeurs : celui de regrouper la plupart des équipes au premier étage, et de créer un grand showroom en RDC, lieu de rencontres et ouvert sur le parc. Le dernier enjeu a été de gérer la température des nouveaux espaces créés, la façade étant entièrement vitrée.
C’est au contact de sujets chaque jour différents que se trouvent les meilleurs réflexes et les meilleures combinaisons de choix pour allier capacité d’accueil, respect des contraintes réglementaires, confort de travail et fierté, pour l’entreprise utilisatrice, d’intégrer les nouveaux lieux.
Maniant avec une agilité étonnante réduction des délais et demande de plus en plus forte de co-construction, le partenariat sur cette opération monté entre AVENTIM et Kardham est aux avant-postes des nouveaux éco-systèmes réinventant l’immobilier d’entreprise.